magnifique village je l'adore
top
Très beau jardin,mais manque d arbres de senteurs et de fleurs .
Venez au bar du Col d'Amphore pour prendre un café au soleil, en terrasse.
Merci pour ces explications très intéressantes
Idéal pour profiter d’un resto pendant que les enfants courent partout !
Port sympa avec de multiples restaurants
très sympa. halte reposante.
Sur le littoral au nord de Macinaggio, le site préhistorique de la Coscia abriterait les plus anciennes traces du peuplement de la Corse au Paléolithique. Dans l'Antiquité existait le port romain de Tamina, à l'embouchure du fiume di Jioielli (ou de Gioielli) au nord duquel a été bâti le port de Macinaggio. L'ancien port de pêche et de commerce fut l'un des ports de Corse les plus actifs du temps de la marine à voile, jusqu'au xixe siècle. De juin 1748 à 1753, le port est occupé par les troupes françaises qui le dotent d'une digue de pierres et de bois. Le port sera assiégé par Paoli de 1760 à 1764 mais reste aux Génois jusqu'en 1765. Du xvie siècle au xixe siècle, une tour protègeait Macinaggio ; la tour était pourvue d'un magasin. En 1761, après un an de siège, la tour sera prise par Pascal Paoli. Il n'en reste plus rien. En 1771 la digue de pierres et de bois est ruinée par un fort libeccio. Vers 1790, ne résidaient à Macinaggio que des fonctionnaires, douaniers et soldats. Les marins et commerçants qui résidaient à Rogliano, possédaient une centaine de magazzini (entrepôts) à Macinaggio. Le 3 décembre 1793, les Corses, aidés par l’artillerie du navire anglais le Courageux, désarment et font prisonnière la garnison française de Macinaghju. Le 22 février 1794, une flottille anglaise de l'amiral Hood, chassée de Toulon par Bonaparte, met à sac le port, pille les entrepôts, vole les marchandises et brûle ou emmène les voiliers. En 1859, Macinaggio est relié à Bastia par la route. Vers 1874 Macinaggio était prospère. De ses chantiers sortent de nombreux voiliers et barques. De nos jours, le port de plaisance, construit sur l'ancien, est le premier du Cap Corse, avec 600 anneaux, et fait face à la côte toscane et aux îles de Capraia et d'Elbe. Le tourisme estival y est fortement actif. À la Maison du Port sont déposés les trouvailles des sites archéologiques. Source: Wikipedia
Santa Severa est la marine de Luri, construite dès le début du xviiie siècle à une vingtaine de kilomètres au nord d'Erbalunga. C'est avant tout, un petit port de pêche. Toutefois, il a été doté d'une capitainerie et de commodités (douches et toilettes) pour la « petite plaisance » qui peut s'avitailler en eau et carburant. Un petit chantier de construction navale existait jusqu'en 1875. Les quatre felouques corses qui ont pris part à la bataille de Lépante en 1571 y auraient été construites. Santa Severa doit son nom à l'ancienne bourgade de Santo Severio, dite « Santa Soeria » au Moyen Âge où jadis, dès le iiie siècle, devait être vénéré Severinu, Corse martyrisé à Calvi en mai 225 avec Ristituta (sainte Restitude) toujours vénérée à Calenzana. Santa Severa a une chapelle Santa Catarina. Autrefois, une tour carrée dite « Tour de Santa Severa », avait été occupée en janvier 1558 par les Génois (la Corse était alors française) malgré la Trêve de Vaucelles, puis reprise par les Français en octobre 1558. En 1559 le traité de Cateau-Cambrésis qui mit fin au conflit entre la France d'un côté et l'Espagne et l'Angleterre de l'autre, rendra la Corse à Gênes alliée de Charles-Quint. La tour était encore visible en 1928. Il n'en reste plus rien. Au nord-ouest de Santa Severa, à environ 1 400 m de la côte et en limite septentrionale de la commune, sont les ruines de Mata et de sa tour circulaire. Ce village ruiné par les Sarrasins au xvie siècle, a été abandonné au xviiie siècle. De nos jours Santa Severa, est un petit port tranquille où un grand nombre de locaux de la région aime se retrouver pour boire un café au bord de l'eau. Source Wikipédia
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